l’erreur des freelances sur malt


Ce n’est pas les plateformes qui te montrent aux clients… c’est elles qui te cachent.

Il y a 4 ans, quand je me suis lancé en freelance, j’ai fait comme tout le monde.
J’ai poli mon LinkedIn, optimisé mon profil Malt, et mis un TJM “ambitieux” de 700 €.
Puis j’ai regardé ceux qui rankaient bien : j’ai copié leurs descriptions, leurs mots, leur structure… même leur ton.

Résultat ? Zéro contact.

Alors j’ai regardé leur TJM.
500 €. Parfois 400 €.
Et chaque jour, de nouveaux profils qui s’ajoutent, tous identiques, tous interchangeables.

À ce moment-là, j’ai compris un truc violent :
j’étais devenu un paquet de céréales dans un supermarché bondé.


Les clients prenaient soit le moins cher, soit celui qu’ils connaissaient déjà.
Entre les deux… j’existais pas.

En discutant avec d’autres freelances, c’était encore plus flagrant.
Je leur disais : “Tape ta stack dans la recherche, tu vas voir.”
Ils ne retrouvaient même pas leur propre profil.
Pour quelques profils visibles, il en faut des milliers qui remplissent les étagères.

C’est là que j’ai compris : si je voulais redevenir visible, je devais sortir du rayon.
Arrêter d’attendre qu’une plateforme décide quand j’existe.
Et aller chercher mes clients, moi-même.

Cette histoire, je la raconte souvent.
Parce qu’une fois que tu comprends que tu n’es plus obligé d’attendre dans un rayon bondé, tu reprends enfin le contrôle.
Et la plupart des freelances que j’aide découvrent que ce basculement change tout pour leur business.

Si tu en as marre de te sentir comme un produit sur une étagère,
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Imrane Dessaï

J’aide les freelances tech seniors à passer de prestataires exécutants à partenaires de confiance, capables de signer leurs clients en direct et de choisir leurs conditions de travail.

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