Pourquoi les freelances "moyens" s'en sortent mieux


Pas les plus “brillants”, mais les plus lucides

J’ai observé des centaines de freelances.

Ceux qui cartonnent. Ceux qui galèrent. Ceux qui stagnent.

Et j’ai remarqué un truc bizarre.

C’est pas forcément les plus “brillants” qui s’en sortent le mieux.


Comme d'hab, une ressource complémentaire :

J’avais une offre en béton : l’automatisation.

Sur le papier, ça faisait gagner du temps, réduire les erreurs et économiser de l’argent.

Pourtant, les clients me répondaient toujours la même chose : “j’ai rien à automatiser.”

Dans cette vidéo, je t’explique pourquoi mon pitch ne marchait pas, comment je parlais un langage trop technique, et surtout comment j’ai trouvé l’angle qui change tout : relier mon offre au quotidien réel des clients.

Tu vas voir pourquoi un client n’achète pas une techno, mais une solution à un problème qu’il reconnaît.


L’erreur de casting

On croit que pour réussir en freelance, faut :

Être le meilleur technicien. Avoir le CV le plus impressionnant. Maîtriser toutes les technos à la mode. Sortir de la meilleure école.

C’est faux.

Les vrais points communs

J’ai creusé. J’ai analysé. J’ai comparé.

Et j’ai trouvé 5 points communs chez ceux qui réussissent vraiment.

Point 1 : Ils veulent plus qu’un bon TJM

La plupart des freelances se battent pour 600€/jour. Eux ils pensent différemment.

Ils veulent : De l’autonomie sur leurs projets. Choisir leurs clients. Monter en compétences stratégiques. Construire quelque chose de durable.

Le TJM, c’est juste un indicateur. Pas l’objectif final.

Point 2 : Ils ont déjà testé seuls

Ils ont pas attendu qu’on leur dise quoi faire.

Ils ont essayé de prospecter. Ils ont testé LinkedIn. Ils ont tenté de se positionner. Ils ont galèré.

Mais maintenant ils savent. Ils savent ce qui marche pas. Ils savent où ils perdent du temps. Et ils veulent accélérer.

Point 3 : Ils cherchent pas la méthode miracle

Ils sont pas là pour la pilule magique. Ou la technique secrète. Ou le hack qui va tout changer.

Ils veulent un cadre. Une méthode claire. Un processus à suivre. Des étapes précises.

Pas de la magie. De la méthode.

Point 4 : Ils savent qu’ils vont devoir faire

Ils sont pas là pour consommer du contenu.

Regarder des vidéos. Lire des ebooks. Collectionner les formations. Hocher la tête en prenant des notes.

Ils savent qu’il va falloir : Appliquer. Tester. Ajuster. Recommencer.

Et ils sont prêts.

Point 5 : Ils veulent reprendre le contrôle

Ils en ont marre de subir.

D’attendre qu’on les rappelle. De se battre pour avoir des infos. D’enchaîner les missions au hasard. De dépendre du bon vouloir des ESN.

Ils veulent maîtriser : Leur pipeline commercial. Leur positionnement. Leurs tarifs. Leur planning.

Bref, leur business.

Pourquoi eux et pas les autres ?

C’est une question de lucidité.

Les autres croient encore qu’il suffit d’être bon techniquement. Qu’il suffit d’attendre. Que le marché va se réguler tout seul. Que leur talent va finir par être reconnu.

Eux ils ont compris.

Être freelance, c’est pas juste faire du dev. C’est diriger une entreprise. Avec tout ce que ça implique.

Ce qui fait la différence

C’est pas leur niveau technique. C’est pas leur expérience. C’est pas leur réseau.

C’est leur état d’esprit.

Ils sont passés de : “J’espère qu’on va me choisir” À : “Je choisis mes clients”

De : “Pourvu que ça marche” À : “Je sais pourquoi ça marche”

De : “C’est compliqué le commercial” À : “J’ai une méthode qui marche”

Le déclic

Ce qui les différencie, c’est le moment où ils ont arrêté de croire que :

Bien coder suffit. Le bouche-à-oreille va tout régler. Ils vont “tomber” sur le bon client. C’est normal de galérer en freelance.

Et où ils ont compris que :

Il faut une vraie stratégie commerciale. Il faut se positionner clairement. Il faut maîtriser son pipeline. Il faut traiter ça comme un business.

Pourquoi j’insiste là-dessus

Parce que j’entends encore trop souvent :

“Moi je code, je fais pas de commercial” “Si je suis bon, ça va se savoir” “J’ai pas de temps pour LinkedIn” “Je préfère que mon travail parle pour moi”

Et ces freelances là, ils galèrent. Pendant des années. Sans comprendre pourquoi.

La réalité du terrain

Les freelances qui réussissent ont compris un truc simple :

On les paye pas pour leur code. On les paye pour résoudre des problèmes business.

Et pour résoudre des problèmes business, faut : Comprendre les enjeux client. Savoir se vendre. Maîtriser sa comm. Piloter son activité.

Bref, faut arrêter de se cacher derrière son clavier.

En pratique

Si t’es dans cette logique, tu :

Choisis tes clients au lieu de les subir. Facturas plus sans négocier pendant des heures. Planifies ton activité à 3-6 mois. Te formes sur les sujets qui comptent vraiment. Développes ton réseau de manière intelligente.

Si t’es pas dans cette logique, tu :

Prends ce qu’on te donne. Négocias tes tarifs vers le bas. Vis dans l’incertitude permanente. Te formes sur des technos qui servent à rien. Espères que quelqu’un va te “découvrir”.

Pour résumer

C’est pas une question de talent. C’est une question de lucidité.

Les freelances qui réussissent ont juste pigé que c’est un métier. Avec ses règles. Ses techniques. Ses méthodes.

Et ils les appliquent.

C’est tout.

C’est toi qui vois.


PS : Tu t’reconnais dans ces 5 points ?

Tu veux plus qu’un bon TJM ? T’as déjà testé seul mais tu veux accélérer ? Tu cherches un cadre clair, pas une méthode miracle ?

On peut en parler 30 minutes.

Je te montre comment passer de “j’espère” à “je maîtrise”. Comment construire un pipeline qui marche. Comment reprendre le contrôle de ton activité.

Réserve ton diagnostic ici →

Imrane Dessaï

T'es Freelance Tech, tu veux trouver des clients par toi même ? Retrouver du temps sans baisser tes revenus ? Avoir des projets passionnants ? Gérer ton lieu de travail toi même ? Je te montre comment faire

Read more from Imrane Dessaï

“Dans la Data, c’est pas possible” C’est ce qu’il m’a dit. Un Data Analyst. Qui bosse pour des banques. En mission longue. 5 jours par semaine. En présentiel. Et qui en peut plus. La ressource de la semaine : Tu penses qu'avant de chercher des clients, tu dois avoir un site parfait, un beau logo, un portfolio en béton ? Erreur classique. Dans cette vidéo, je partage toutes les fausses priorités qui m'ont fait perdre des semaines sans jamais trouver de clients : branding inutile, cartes de...

Tu t’y perds dans toutes ces options ? Formation. Coaching. Mentoring. Programme. Masterclass. Moi aussi, au début. J’y comprenais rien. Juste avant de commencer, je te partage cette interview avec Ahmed, freelance SAP et mentor pour consultant SAP. Il nous partage son expérience sur cette niche particulière dans cette nouvelle vidéo. Et c'est un super complément à cette newsletter sur les avantages qu'aaportent un mentor. Ce que j’ai testé en premier Les formations en ligne. Tu sais, celles...

T’es dans le diagnostic, pas dans la vente T’entends partout qu’il faut “pitcher”. Sortir tes références. Balancer tes tarifs. Prouver ton expertise. Mais c’est pas ça, vendre. L’erreur qu’on fait tous au début Au début, je faisais pareil. “Voici ce que je fais.” “Voici mes tarifs.” “Voici mes références.” Résultat : silence radio. Tu crois que c’est ton pitch qui coince. Ou tes tarifs trop élevés. Ou ton portfolio pas assez sexy. Mais c’est faux. Comme d'hab, une ressource complémentaire...